Expression avril 2000 :

Reconnaissance du mérite, de l'activité

Soyons créatifs, soyons audacieux à l'aube du XXIème siècle, pour toutes initiatives, en toute liberté d'expression et la récompense de l'effort : la reconnaissance du mérite, de l'activité d'une accession sociale pour les jeunes par un revenu d'insertion, pour tous et non à l'assistanat héréditaire à partir de 25 ans !

Extrait d'une décision directe d'E.D.J., du 6 juin 2000 :

........... Par ces Motifs : Le Président d'Expression développement Jeunesse statuant par cette décision directe .............le temps de la procèdure contentieuse administrative entamé par Monsieur XXXXXX XXXXXXX contre l'Etat et démontré la responsabilité de cette entité par l'exclusion à la justice sociale, d'une strate de la société et malgré leur production méritée. (Arrêt du Conseil d'Etat : BLANCO du 08/02/1873).

Une avancée (sur l'exclusion d'une strate de la société et la Production méritée ?) !!! La création d'une allocation d'autonomie pour les jeunes reportée sine die 11/12/2000 à 16h05 PARIS (AP) -- Le serpent de mer de l'allocation d'autonomie pour les jeunes (promise depuis longtemps sans jamais voir le jour) fait son retour mardi à l'Assemblée nationale. Retour qui sera bref, la majorité plurielle s'étant accordée pour repousser le problème à plus tard. Les députés doivent examiner mardi matin une proposition de loi sur le sujet, déposée par le président du groupe communiste à l'Assemblée nationale, Alain Bocquet. Celle-ci prévoyait à l'origine la création d'une «allocation d'autonomie» pour les 16-25 ans, en accord avec les engagements pris par les cinq formations de la majorité le 7 novembre dernier dans une déclaration adoptée à l'issue du sommet de la gauche plurielle. Elle visait ainsi à remédier à une situation devenue alarmante, la pauvreté des jeunes s'étant accrue au cours des années 1990 plus vite que la pauvreté moyenne dans la population. Confrontés aux difficultés d'accès à l'emploi, les 16-25 ans sont ainsi contraints de rester plus longtemps dépendants de leurs parents. Mais, depuis son dépôt à l'Assemblée nationale le 23 novembre dernier, la proposition de loi a subi de profonds remaniements qui l'ont vidée de sa substance. C'est ainsi que le texte adopté mercredi en Commission des Affaires culturelles, familiales et sociales ne prévoit plus que la création d'une... «commission nationale pour l'autonomie des jeunes» placée auprès de Lionel Jospin. Chargée de dresser un état des lieux de la situation des jeunes et des aides qui leur sont apportées, elle devra remettre un rapport au Premier ministre avant le 31 décembre 2001. Le président (PS) de la Commission des Affaires culturelles, familiales et sociales, Jean Le Garrec, a en effet estimé «nécessaire, avant de créer l'allocation, de mettre en place une structure prenant en compte les nombreux travaux déjà réalisés». Aucune décision sur le sujet ne devrait en tout état de cause intervenir avant la prochaine réunion de la Conférence sur la Famille en juin 2001. Autant dire que les jeunes devront encore patienter... AP co/sop.

Expression : Le goût d'entreprendre (13 décembre 2000) : Il y a de cela presque 25 ans, Raymond Barre, alors premier ministre, déclarait que pour lutter contre le chômage, le meilleur moyen était que les chômeurs créent leur propre entreprise. Tollé chez les défenseurs de classes défavorisées qui se gaussèrent de ce premier ministre qui voulait transformer les chômeurs en distingués PDG ! Sauf qu'aujourd'hui les rieurs qui, une fois arrivés au pouvoir, développèrent l'emploi public et nationalisèrent sans aucune retenue ont été démentis par les faits et que l'idée est restée. Les choses ont-elles changées ? Lors de son discours d'investiture, Lionel Jospin n'a prononcé le mot entreprise qu'à 5 reprises et son gouvernement met en avant, dans la lutte contre le chômage, les quelques milliers d'emplois liés à la réduction du temps de travail et les emplois publics déguisés que sont les emplois jeunes, occultant les centaines de milliers d'emplois créés par le secteur privé. Or, ce dernier tend à permettre l'essor de micro-entreprises. Depuis 1990, ce sont 10.000 entreprises qui ont vu ainsi le jour générant 14.000 emplois. On sait que l'on peut nourrir un homme en lui donnant du poisson, mais si on lui apprend à pêcher il pourra se nourrir tout seul. Partant de ce principe, il est sain d'aider les personnes à se réinsérer par le travail non pas en les assistant, comme prétendent le faire les socialistes, mais en leur offrant un cadre où elles pourront exprimer leurs compétences. L'assistance devient un conseil qui débouche sur une activité créatrice de richesses et donc d'emplois. C'est tellement simple qu'il ne faut même pas songer un instant à demander à un représentant de la gauche plurielle de faire sienne cette analyse aux antipodes des trompettes triomphales des créations d'emplois publics, des déficits et autres " trous financiers ". Hier, la Banque Européenne d'Investissement, la BNP-Parisbas et l'ADIE ont mis en place un fonds spécial de 2 millions d'euros (Ce qui représente 0,0009% du déficit du Crédit Lyonnais ce qui donne une idée du gaspillage des fonds publics.), qui devrait permettre de porter la création de micro-entreprises de 3.000 à 8.000 en 2004.

Expression : Le Crédit Solidaire au service de l'Insertion : Chômeurs de longue durée, RMistes ... Beaucoup veulent sortir de la spirale de l'exclusion en créant leur propre emploi. L'ADIE les aide à démarrer en leur prêtant de l'argent. Parfois il suffit d'un coup de pouce... Le chômage, tout le monde en parle. Depuis 10 ans l'ADIE prête aux chômeurs qui créent leur entreprise. L'ADIE est une association (loi de 1901) qui aide des personnes exclues du marché du travail et du système bancaire classique à créer leur propre emploi (sous la forme d'entreprise individuelle, SARL, travailleur à domicile...). L'ADIE apporte à ses porteurs de projets les moyens financiers pour démarrer ou développer une activité sous la forme d'un prêt. Elle les conseille et les forme pour leur donner toutes les chances de réussite. Elle leur offre un soutien permanent après le démarrage et la possibilité de prêts successifs jusqu'à leur retour dans le circuit bancaire classique. Site Internet : http://www.adie.org

Expression : Le Cas de Nécessité au service de l'Insertion, pour une meilleure Justice Sociale : Evitons de créer des ghettos sociaux (dont une strate de la société, les 16 - 25 ans) et malgré leur production méritée (source d'exclusions, de délinquances, de marginalisation). Expression Développement Jeunesse - Stars de Demain désire éviter les exclusions et lutter contre les actes de délinquances par un soutien, une présence humaine pour soutenir ces CAS DE NECESSITES dont certaines personnes "naïves" se sont laisser abuser par la confiance (une clientèle et des représentants peu scrupuleux dans un commerce, aujourd'hui fermé par liquidation judiciaire sur Douai). Faire CREDITS, amène la"Misère". Il faut SAVOIR aider : la Justice Sociale de ces Cas de Nécessités pour palier aux carences du social de l'Etat. L'association, elle-même soutient ou des membres de l'association, à titre privé ces CAS DE NECESSITES, dans l'attente d'une Meilleure Fortune, dont le mérite, le dévouement, la tenacité, le courage et l'audace ne sont pas reconnus par les organismes sociaux de l'Etat. Extrait de l'intervention d'Alain Madelin à l'Assemblée Nationale, le 17 janvier 2001: "Cette mutation démocratique, cette refondation a, pour moi, un fil directeur : le principe de subsidiarité, celui qui donne la primauté à la personne humaine, qui fait confiance à sa liberté, à sa responsabilité: Ce que les citoyens, les familles, les associations, les partenaires sociaux, les collectivités locales peuvent faire par eux-même il faut leur laisser faire. C'est un principe de proximité qui veut que l'on ne fasse remonter vers le haut, vers l'Etat ou vers l'Europe, que les taches qui peuvent y être plus efficacement effectuée et de façon subsidiaire par rapport aux personnes. "

Expression : "Pour un revenu familial minimum garanti" Alain Madelin s'est déclaré favorable à la mise en place d'un revenu familial garanti, adaptation de l'impôt négatif au contexte français. " Ce que je propose c'est un revenu familial minimum garanti qui constitue un vrai filet de sécurité pour tous les Français et qui permette, par une allocation dégressive, jusqu'à un certain seuil, de compléter la feuille de paie, favorisant ainsi chaque fois qu'on le peut, la reprise du travail pour celles et ceux qui sont enfermés dans l'assistance. ". Un moyen de combattre efficacement l'exclusion tout en refondant le système français des aides sociales et en favorisant le retour sur le marché de l'emploi.

 

Proposition pour les présidentielles 2002 par Robert HUE (sur l'exclusion d'une strate de la société et la Production méritée ?) !!! La création d'une allocation d'autonomie pour les jeunes de 18 à 25 ans : 700,00 € (4.591,70 FF). "Dans leur majorité les jeunes font leur entrée dans la vie active après plusieurs années d'emplois précaires et sous payés. C'est inacceptable ! Cette mesure vise à sécuriser leur parcours de la formation initiale à l'insertion dans l'emploi stable et correctement rémunéré. Les emplois jeunes doivent accéder à un tel type d'emploi". Robert HUE est généreux (avec l'argent des Français) !!! pour l'exclusion d'une strate de la société (18 à 25 ans) en leur offrant 700,00 € SANS CONTREPARTIE de production méritée !!! et les RMistes (à partir de 25 ans) perçoivent mensuellement 405,62 € (2.660,69 FF). La véritable solution pour l'ordre social est instaurer un Revenu Familial d'Activité Minimum Garanti (à partir de 16 ans) de 405,62 € ; Un moyen de combattre efficacement l'exclusion tout en refondant le système français des aides sociales et en favorisant le retour sur le marché de l'emploi comme le propose Alain MADELIN pour redessiner la société, les cités, le respect et la sécurité ; en multipliant les Libertés : l'ensemble des Libertés (Politique, Social et Economique). En effet Robert HUE (Communisme) parle de Liberté Social, comme Jean Marie LE PEN (Nationaliste) et Alette LAGUILLER (Lutte Ouvrière) défend les Libertés Social et Politique. Le choix des citoyens doit se déterminer sur les 3 ordres de Libertés (Politique, Social et Economique), comme le défend Alain MADELIN, pour TOUS. Ceux qui sont actuellement en poste CHIRAC / JOSPIN assure un programme pour sauvegarder le conservatisme, les privilèges !!! Les candidats, de gauche comme de droite, sont des "SUPER MENTEURS" en menant la politique du "socialisme" !!!

Sommes nous obliger de choisir entre un énarque de droite et un énarque de gauche ?

NOUS REFUSONS

DE JOUER LE MATCH RETOUR DE 1995

NOUS VOULONS

FAIRE LE CHOIX D'UNE FRANCE MODERNE

alors c'est votre choix ....

Alain MADELIN

 

Expressions : Avril 2002 (Source : CAPITAL - n° 127) Pour élargir le débat, quelques idées sur l'activité, le mérite sérieuse ou iconoclastes, ambitieuses ou bêtes comme chou ; parmi des milliers qui circulent hors des cénacles politiques.

Charles WYPLOSZ (économiste) : Relancer l'emploi et garantir les retraites. Les deux enjeux du quinquennat sont le chomâge et les retraites. La France est l'un des rares pays où l'on peut toujours chercher des aides sociales à l'infini, ce qui n'incite pas à reprendre un emploi. Il faut réformer ce système et créer une vrai politique de formation continue, en impliquant les entreprises. Pour les retraites, il faut donner la possibilité aux salariés de cesser de travailler à l'âge qu'ils veulent.

Maria NOWAK (Présidente de l'ADIE) : Favoriser la création d'entreprise. Il faut faciliter la création d'entreprise, même pour ceux qui n'ont pas de capital. En simplifiant les contraintes administratives et en allégeant les cotisations sociales lors du démarage, mais aussi en favorisant l'accès au crédit. On pourrait ainsi assouplir le plafond des taux d'intérêts pour les prêts aux entreprises, afin que les banques acceptent plus facilement de prêter de petites sommes à des créateurs en situation précaire.

André COMTE-SPONVILLE (Philosophe) : Créer une allocation universelle de ressources. Il faudrait remplacer le RMI par une allocation universelle de ressources que tout le monde toucherait. Car les bénéficiaires du RMI ne sont pas incités à rechercher un travail : même au SMIC à temps plein, ils y gagnent trop peu. Avec cette allocation qui s'ajouterait au salaire, la reprise d'un emploi, même faiblement rémunéré, augmenterait sensiblement le revenu. Ce système serait donc plus incitatif que l'aide actuelle.

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