Expression Humoristique : une curiste à La Roche Posay

Harcèlement Sexuel

Contrairement a une idée reçue, la majorité des hommes qui violent d'autres hommes sont hétérosexuels. Il ne faut pas oublier que le viol est un crime de haine, et non pas d'amour. Il s'agit, dans la plupart des cas, de personnes homophobes. Malheureusement, notre société a tendance a confondre sexe et violence.

 

"Je me promène sur un trottoir

de La Roche Posay.

Je me retrouve nez à nez

avec un homme aux gestes bizarres

On dirait une marionnette agitée par des fils

Je reste interloquée

Moi naïve et pudique comme pas une

C'était pourtant un être humain

Pas un singe

Soudain une lueur dans le ciel

Aux contours d'un bel ange blond

qui me fais signe

et me lance "c'est une folle tendue"

Je reste coi. Je ne comprends rien

Avec sa démarche étrange

Des gestes de bras et de mains insensés

Je rêvais

Cette étrangeté, très âgée,

me proposait une forte somme d'argent

Illico Presto, et pourquoi cette gentillesse !...

Il me parlait de plumard confortable

Voulait m'offrir des bijoux (de famille bien sûr)

J'étais outrée.

C'était bel et bien du harcèlement sexuel

ça existe

Il venait de Poitiers

A croire que la Roche Posay

Convient mieux pour ce genre d'énergumènes

Venant aussi de Reims, d'Amiens et de Partout."

 

Jurisprudence du 06 octobre 2000 :

L'Abbé René Bissey est condamné par la cour d'assises du Calvados à 18 ans de réclusion criminelle pour viols et agressions sexuelles sur 11 mineurs.

Jurisprudence du 20 octobre 2000 :

Premier procès pour "tourisme sexuel" à Paris: Amnon Chemouil, 47 ans, est reconnu coupable du viol d'une fillette de 12 ans en février 1994 à Pattaya, en Thaïlande, et condamné à sept ans d'emprisonnement par la cour d'assises de Paris.

Prêtre pédophile de Lieurey : un Canadien fait état de plusieurs jeunes concernés 18/12/2000 à 22h05 EVREUX (AP) -- Le prêtre canadien Denis Vadeboncoeur, vicaire épiscopal du diocèse d'Evreux soupçonné de pédophilie, s'est livré à de tels actes sur plusieurs jeunes de Lieurey (Eure), où il avait exercé de 1988 à 1992, affirme un Canadien aujourd'hui âgé de 36 ans, auquel le religieux aurait imposé des relations à partir de 12 ans. Contacté par l'Associated Press à son domicile de Saint-Lambert au Québec, cet homme, Eric V., explique avoir écrit à deux reprises à l'évêque d'Evreux, Mgr Jacques David, le 5 octobre 1997 et le 1er février 2000, pour l'alerter sur les agissements de Denis Vadeboncoeur. Sans résultats, affirme Eric V. «Je suis à la disposition de la justice pour que mon témoignage serve à dire la vérité», ajoute-t-il. Les enquêteurs n'ont actuellement enregistré qu'une plainte à l'encontre de Denis Vadeboncoeur, émanant d'un jeune homme aujourd'hui âgé de 25 ans, mineur au moment des faits. Le prêtre canadien a été mis en examen le 1er décembre dernier, après s'être livré à la justice sur les conseils de l'évêque d'Evreux, Mgr Jacques David. Denis Vadeboncoeur a été mis en examen pour «viols sur mineur de moins de 15 ans» et «viols sur mineur de plus de 15 ans par une personne ayant abusé de la qualité que lui confèrent ses fonctions», pour des faits commis entre 1988 à 1992 à Lieurey. Le prêtre, de nationalité canadienne mais en France depuis dix ans, avait déjà été condamné en 1985 au Québec pour des faits similaires. Elisabeth Simon, maire de Lieurey, a expliqué à l'AP qu'Eric V. lui a envoyé début décembre des copies des deux lettres. «Je les ai déposées au Parquet», a précisé Mme Simon qui s'est constituée partie civile dans cette affaire la semaine dernière. Contactés par l'AP, les services de Mgr David n'ont pas pu être joints dans l'immédiat. Le parquet n'a pas fait de commentaires pour le moment. Mgr Gaillot, évêque d'Evreux à l'époque des faits, a été entendu comme témoin jeudi dernier dans les locaux du SRPJ de Rouen, en raison de déclarations contradictoires ces dernières semaines. Il avait d'abord affirmé ignorer le passé du père Vadeboncoeur, avant de reconnaître le contraire. AP cre/vei/ll.

Jurisprudence du 18 janvier 2001 :

Deux pharmaciens condamnés pour homophobie envers leur employée 31/1/2001 à 16h37 MONTPELLIER (AP) -- Le tribunal des Prud'hommes de Sète (Hérault) a condamné deux pharmaciens de la ville à verser 80.000,00 FF de dommages et intérêts à leur employée à qui ils reprochaient d'être lesbienne, a-t-on appris mercredi auprès de Me Luc Kirkyacharian, avocat de la plaignante. Cette femme de 33 ans, divorcée et homosexuelle, Valérie Goudal, «était régulièrement harcelée par ses employeurs qui lui reprochaient d'être lesbienne», a expliqué à l'Associated Press l'avocat du barreau de Montpellier. La jeune femme est toujours employée au sein de l'officine. Selon l'avocat, ce jugement rendu le 18 janvier est appelé à faire jurisprudence car «c'est la première fois que les Prud'hommes retiennent le harcèlement moral alors que l'employée n'a pas fait l'objet de mesures de licenciement». Hussein Bourgi, président du Collectif contre l'homophobie et pour l'égalité des droits, dont le siège est à Montpellier, s'est félicité mercredi de ce jugement. «La notion de harcèlement moral était récemment taboue. Ce procès a été possible grâce au très récent projet de la loi Aubry sur la rénovation sociale qui intègre clairement le harcèlement moral pour orientations sexuelles. C'est un exemple, un encouragement à des milliers de Valérie pour briser le mur du silence», a-t-il ajouté. AP.

OUI pour combattre le Harcélement Moral

MAIS ce jugement a t-il appréhendé les abus d'une telle jurisprudence sur les "Folles Tendues" qui préférent la chair et la viande. A quoi sert le PACS !!! Une loi qui favorise le non sentiment pour engendrer, éventuellement, des dols : le non respect de la personne humaine.

L'éthique veut qu'un couple se promette FIDELITE entre un homme et une femme, deux hommes, deux femmes : la liberté sexuelle, avec le RESPECT du partenaire et non de la luxure.

 

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