Expression :

La Solidarité Familiale

Heureux serez-vous si l'on vous insulte,

si l'on vous persécute

et si l'on dit faussement toute sorte de mal contre vous,

à cause de la Solidarité Familiale

La liberté de la solidarité familiale peut-elle exister dans la conjoncture du XXème siècle ? Sans que l'Etat Providence CHIRAC / JOSPIN s'approprie le patrimoine d'une Famille (3 générations), en lésant l'enfant ! ! ! et le laisser dans l'exclusion pour l'empêcher de développer l'initiative ! ! ! ; malgré le Code Civil :

> Obligation alimentaire "générale" et réciproque entre parents et alliés : "les enfants doivent des aliments à leur père et mère et autres ascendants qui sont dans le besoin" (art. 205). Il en est de même pour les gendres et les belles filles à l'égard de leur beau-père et belle-mère. Toutefois, l'obligation cesse lorsque celui de l'époux qui produisait l'affinité ainsi que les enfants issus de son union avec l'autre époux sont décédés (art. 206). Elle cesse également en cas de divorce. Entre ascendants et descendants, l'obligation alimentaire existe sans limitation de degré : enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants ... entre alliés, en revanche, elle est limitée au premier degré. Il n'y a pas d'obligation entre un époux et les grands parents de son conjoint. Par ailleurs, il n'y pas d'obligation non plus entre l'enfant d'un premier lit et le second conjoint de son père et sa mère.

> Obligation d'entretien des parents à l'égard de leurs enfants : "les époux contractent ensemble, par le seul fait du mariage, l'obligation de nourrir, entretenir et élever leurs enfants" (art. 203, qui s'applique aussi entre les parents non mariés et leurs enfants naturels).

C'est en effet la situation, en 2002, au début du XXIème siècle. L'Etat Providence par ses services de Sauvegarde de justice, Curatelle, Tutelle récupère le patrimoine des 3 générations, dont le capital MORAL de l'enfant constitué par son père décédé en 1992 (Receveur Principal des Impôts - 1ère classe de Douai Ouest) ; car des grands parents pour offrir une chance et pour construire l'avenir de leur petit fils, épargne un capital pour qu'il fructifie destiné au petit fils (qui recueille les fruits ; après ses études).

Où se trouve la liberté de la Solidarité Familiale ? ! ?

Pour défendre le DROIT de ce capital MORAL, Monsieur Raymond MORIN de DOUAI (Cabinet MORIN 83, rue du 11 novembre), en qualité de D.E.S Economie Politique - Licencié en Droit - Ecole Nationale des Impôts - Audit Senior Externe - Rédacteur Juridique et Fiscal - Ingénieur Patrimonial - Président de Syndicat de copropriété - Ancien mandataire spécial de Justice, a établit une ATTESTATION en date du 16 mars 2002, au petit fils ; dont nous vous la citons :

"Connaissant Monsieur Vincent HARDUIN depuis sa naissance, ayant connu son père Claude, comme collègue à Douai, quand j'y dirigeais les impôts dans les années 1980 (jusqu'en 1992), j'atteste que Monsieur Vincent HARDUIN est en mesure de réclamer à sa grand mère Madame PEUGNIEZ Renée DEFERT un capital de XX.XXX,XX € (XXX.XXX,XX FF) constitué par le capital décès accordé aux défunts de mon ancien ministère. (Capital qui lui a été versé). Dés lors, tout refus ou contestation sur ce droit, s'il le faut, être prouvé en justice." Signé : Raymond MORIN. "N.B. : On doit à Monsieur HARDUIN et le capital et les intérêts produits."

HARDUIN - EDJ STARS DE DEMAIN

cyber.edj@caramail.com

 

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